dimanche 7 décembre 2014

Banque VS Banquise

Première anim sur une série de cinq, faites pour l'appel de levée de fonds pour le processus Alternatiba. Si vous voulez soutenir, c'est par là.
Allez, un p'tit effort, la planète vous le rendra !


jeudi 4 décembre 2014

Complote

Deux dessins qui datent d'avril 2011 pour le feu fanzine Kromozom (version numérique), un numéro "spécial complot". La version numérique aura duré en tout 6 mois, contre 7 ans en version papier...

mercredi 3 décembre 2014

Attaque de puces

Voici une illustration que j'ai faites hier pour le travail, que j'ai colorisée cet après-midi.

samedi 29 novembre 2014

Metaleggs_7

Hop, un p'tit post en novembre tout de même. Loin d'avancer comme je voudrais sur mes deux projets principaux (Cosmobilhome et Metaleggs), j'ai décidé d'au moins réaliser le clip de Metaleggs, puisque j'ai déjà enregistré le morceau il y a déjà un an. Voici déjà les intruments du groupe, les guitares respectives de 'Boiled Bob' et de 'Fried Willy', ainsi que la batterie de 'Scrambled Jack'.

samedi 25 octobre 2014

Autoportrait seyant

Un peu d'anim en ce mois d'octobre, voici ma participation au défidéfous#21, en relation avec la Fête du cinéma d'animation ; il fallait faire un autoportrait en boucle de 5s.

mercredi 22 octobre 2014

Le temps


Après avoir vu "Don't hug me I'm scared" un court métrage anglais très marrant sur le temps grâce au forum d'animation fousdanim, j'ai regardé hier, un bout de cette conférence d'Etienne Klein qui explique ce qu'est le temps... Passionnant !

lundi 20 octobre 2014

Ours bipolaire

C'est en donnant la dose de lithium journalière à Bernard, que le gardien du Zoo de Pierre-sur-Yvonne aurait perdu son bras. Selon l'AFP, l'ours était en phase maniaque.

lundi 29 septembre 2014

Vingt pires à Lille

Mon petit film Vingt pires passera à la Nuit de l'animation à Lille, qui se déroulera le samedi 4 octobre de 21h à 6h du mat.
Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez cliquailler là.

mercredi 24 septembre 2014

Epousailles

Oh joy ! En ce 13 septembre 2014, j'ai épousaillé Virginie, nous avons ripaillé, drinké, et giguedouillé jusqu'à potron minet.

samedi 6 septembre 2014

Blue dog

Encore une pochette de Golgoth 13 que j'ai faites en... hum, 2002, je crois bien, que mon ami Sylvain, qu'on surnommait alors "le tyran", n'a jamais validé ; bon, en même temps le morceau n'existait pas encore...

Anims en boucle_1

J'ai téléversé sur la toile deux vieilles anims, "Skateur vert" et "Ride the roof" qui sont aussi dans le carrousel ci-contre, qui date de 2002 ou peut-être même 2003, je ne sais plus. Je les avais faites pour la société Kanabeach pour laquelle je travaillais en temps que réalisateur/animateur de clip spéciaux pour plusieurs magasins à Paris. Ca a duré un an, et j'avais carte blanche, c'était plutôt cool, je faisais environ 4 anims par mois. J'en ai donc encore plein d'autres que je posterais plus tard...


 


jeudi 4 septembre 2014

Zzzziou


Aujourd'hui je fait du tri dans ma clé USB et je fais du rangement dans mon HD ; voici un vieux dessin fait lors d'un cours de BD sur Photoshop...

mercredi 27 août 2014

L'avenir appartient aux robots qui se lèvent tôt

Version définitive pour l'imprimeur
 Hop, voici la version colorisée... Enfin, ce n'est pas complétement fini, je pense faire quelques retouches demain, sur la lampe-cerveau, tout ça... Tombé par hasard hier sur cet éditeur, je pense me procurer le livre de l'écrivain britannique, Samuel Butler, "Détruisons les machines" très prochainement, enfin, je dis ça, mais je pense que je l'achèterais jamais, très prochainement.

mardi 26 août 2014

Roboligarchie

Dessin pour mon travail, fait aujourd'hui même, là maintenant ; je coloriserais demain...

jeudi 7 août 2014

Brutale Trousse


D'accord on est encore en été, et ce n'est pas encore la rentrée...
Mais dans les années 90, il y avait un groupe de musique qui s'appelait Brutal Truth, ils étaient sur la label Earache, spécialisé dans la musique brutale et sans concession. 
Brutal Truth existe encore aujourd'hui, et à la basse c'est toujours le fameux Dan Lilker (Anthrax, SOD, Nuclear Assault) qui officie... Brutal Truth ont été pionniers du style grind* avec Napalm Death, et Carcass. Ici un vidéo clip, et un live.

*musique plus rapide et plus lourde que le heavy avec une voix d'ooooutre-tombe... 

mercredi 6 août 2014

Monarchie Tekte

Image issue du livre de Jean Céryen-Duthou, "Monarchie Tekte, chute et déclin d'une civilisation".

mardi 5 août 2014

Les 4 tiques


"Richard, sur ta cuisse
Drainera milles éclairs d'apocalypse
Johnny, la torche parasite,
Dans ton slip la visite


Les 4 tiques, te pomperont le sang

Elles l'empoisonneront
Te donneront la maladie de Lyme

La méga déprime

Susan sous tes aisselles,
Tu seras son hôte,
Ben Grimm la tique de pierre,
Dans ta chaussette
"

mardi 22 juillet 2014

SuperNeonicotinoidMan

On le sait depuis longtemps, les pesticides sont responsables du déclin de beaucoup d'insectes, pollinisateurs ou non. 53 scientifiques se sont réunis pour expliquer le rapport entre les pesticides systémiques (famille des néonicotinoïdes) et la contamination massives des abeilles et des papillons, des vers et des oiseaux cette dernière décennie.
La vidéo à regarder sur le sujet, ainsi qu'un article très intéressant d'un site Québecois parlant de la nouvelle analyse du GIEC (800 publications qui confirme la même chose) : .

jeudi 3 juillet 2014

Yvres

Voici ma nouvelle participation au fameux défidéfous, concours organisé par le super forum d'animation fousdanim, cette fois-ci le thème était "l'ivresse", au sens large du terme.

Foudre de perlimpinpin

Après Rammstein, le groupe de métal allemand réputé pour se mettre le feu sur scène, le groupe américain ArcAttack eux s'électrifient en public depuis 2005. Enfin, presque... Pour ne pas se faire électrocuter par les éclairs venant des grandes bobines Tesla sur les côtés de la scène, les membres du groupe utilisent des combinaisons en fils de ferro-alliages et des chaussures antichocs : ici, ils reprennent la chanson Ironman du groupe Black Savate. Dans le même genre, le groupe chinois Lightningfan s'amuse aussi avec la foudre depuis 2007.

mardi 1 juillet 2014

Bonnie Chavy


Phobienvivre

Anciennes peurs, nouvelles phobies, parfois témoins d'une société qui va comme-ci mais aussi parfois témoins d'une société qui va comme ça, voici aujourd'hui trois nouvelles phobies :

Colifichetphobie :

La Colifichetphobie
(du l'ancien français colificher, coller des fichiers, et du grec phobos, peur) ou la phobie des bibelots, autrefois appelée "La Vallaurisse" (peur des céramiques de la commune de Vallauris) est la peur irrationnelle des petits objets de décoration que l'on trouve essentiellement chez les grand-mères (chiens ou pierrot en porcelaine, coquillages en céramique).
Les individus souffrant de cette phobie n’ont pas peur du bibelot en tant que tel mais uniquement de l'exposition de celui-ci chez la personne qui en possède.

Dans les cas les plus extrêmes, les personnes atteintes de cette pathologie évitent tous les endroits susceptibles de réveiller leur phobie, chez les grand-mères donc,mais aussi les emmaüs, les vide-grenier et les brocantes...

Cousteauphobie :

La cousteauphobie
(du latin Coste, côte et du grec phobos, peur) parfois aussi appelée "la Jacquive", est la peur des personnes portant un bonnet, et plus généralement un bonnet de couleur rouge.
Les signes classiques de phobie tels que la transpiration excessive ou démangeaisons des pieds, témoignent d'une angoisse intense en présence du stimulus phobogène (La vue du commandant à bord du Calypso dans une rétrospective Thalassa, la vue du grand schtroumpf dans une bd...)


Singuliphobie :

La singuliphobie ou simplexphobie (du latin singuli, simplex, simple, seul, singulier, et du grec phobos, peur) est appelée communément "la peur du chiffre rond" ou "la rondite".
Phobie spécifique, cette pathologie est une crainte morbide et exagérée de voir apparaître chez le marchand, une simplification du chiffre de l'addition dans le but de vous faire revenir chez lui.
La singuliphobie est également un terme signifiant littéralement "la peur de la simplification", avec parfois des débordements amenant à une autre pathologie plus grave cette fois, le T.T.C., le Trouble Total de Complexification.

jeudi 26 juin 2014

Mel Gibbon

L'homme descend du gibbon, si, si, c'est le paléontologue et paléoanthropologue Yves Coppens, qui le dit. Le scientifique Yves Coppens est, pour celles et ceux qui ne le connaissent pas, un des trois chercheurs qui a trouvé le squelette de notre ancêtre à toutes et tous Lucy en 1974, il est auteur de dizaines d'ouvrages, et il présente l'émission "histoire d'hommes" sur France info.

Un monde d'idée (Emission France info, 2014), 
Chercheurs d'hommes (Conférence Science sans frontière, 2002)


Oh Gégé !

Hier, j'ai regardé une conférence de Christian Vélot sur les OGM, celle-ci s'est déroulée à Toulouse en 2005, je l'ai trouvé très bien (merci à Musecyan pour la découverte). Si vous n'y connaissez pas grand chose et que vous voulez mieux comprendre le sujet, c'est par là.

mardi 24 juin 2014

Téléphone à arbre

Conférence très intéressante sur les arbres, à l'Agora des savoirs, à Montpellier, par Francis Hallé, botaniste, biologiste et dendrologue, en novembre 2013 ; allez donc jeter un oeil sur les autres conférences si vous avez un peu de temps devant vous, ça vaut le clic de souris.

jeudi 19 juin 2014

Connected Choucroute

Après avoir racheté Liebig et Garbit, respectivement en 2008 et 2010, Google s'attaque maintenant à William Saurin...
La rumeur voudrait que le géant du web aurait placé quelques micro caméra dans les saucisses pour ainsi récolter des données supplémentaires pour leurs statistiques...

jeudi 12 juin 2014

Des niouvelles de Cosmobilhome

Quelques niouvelles en ce beau mois de juin, notre projet d'animation "Cosmobilhome" (avec Michel et Alex) avance à grandes enjambées, nous y voyons plus clair maintenant après un peu plus d'un an de recherches.
C'est le temps qu'il aura fallu pour enfin sortir la tête de la vase, et que nous respirions enfin...

Rien à voir, hier, j'ai re-écouté une émission sur France Inter Conduite accompagnée sur le talentueux auteur de bd Daniel Goossens qui a été interviewé  pour l'occasion de la sortie de sa nouvelle bd éditée chez Fluide, elle s'appelle Passion, je vous la conseille, elle est géniale.

L'interview est là, il y a aussi Blutch dedans, youpi :



lundi 26 mai 2014

Adieu !


Pour celles et ceux que ça intéresse, je viens de tomber sur une conférence et une interview du célèbre auteur de Goldorak, Go Nagai. La première dure 48 mn, et la deuxième 5 mn ; on le voit même dessiner Le fabuleux robot des temps nouveaux.

mardi 20 mai 2014

Un sprite, mon Amiga

Là, ici, à côté à gauche, en tout petit, un "sprite" ("lutin" en français) vite fait aujourd'hui en huit images, sur l'excellent logiciel gratuit ProMotion de l'éditeur Cosmigo. C'est une termite qui nage vu de dessus, elle vous regarde.

ProMotion est un clone de Deluxe Paint crée par Electronic Arts.


Pour celles et ceux qui n'ont pas, ou peu connu la grande époque du fantastique ordinateur Amiga de la célèbre marque Commodore, Deluxe Paint était le soft de dessin sur lequel on faisait à peu près tout.

La première version du soft date de 1985, mais j'ai personnellement commencé à l'utiliser à partir de 1987, date où j'ai pu acheter mon premier Amiga. C'était un Amiga 1000 qui venait d'Allemagne, car pour des raisons que je ne connais pas, ils coûtaient moins cher qu'en France...
Quand je l'ai reçu, j'ai été ému, mais pas autant que mes premières machines, car je venais juste de vendre mon Atari 520 ST que j'adorais. Oui, j'ai été auparavant un Atariste qui se battait farouchement contre des Amigaistes prétentieux, qui disaient toujours que leur machines étaient mieux. Ce qu'ils étaient hautains ! Aussi, j'avais une légère impression de trahir mon clan. C'était comme ça à l'époque, il y avait des clans partout, dans tous les domaines (musique, etc.) tout ceux qui ont connu cette époque vous le diront.
En informatique, mais plus particulièrement avec la démocratisation de la micro-informatique, c'était l'émergence de plein de marques, ça foisonnait de machines incompatibles entre elles pour le plus grand bonheur mais parfois malheur de leur acheteur/supporter (un jeu porté sur une machine était plus ou moins réussi selon si on avait un C64, un Atari 800XL ou encore un Amstrad CPC 464... On se moquait du son de l'un, l'autre se moquait des couleurs pâles...) Bref, il y avait du challenge, et c'était cool.

Comme on parle de biodiversité, on peut vraiment parler dans les années 80 de technodiversité, une époque où il n'y avait pas de standard informatique.
Car avant le démocratisation du PC et du Mac (et maintenant de la tablette et autres smartphones), il y avait une réelle passion de la part de certains acheteurs qui soutenaient leur machine en achetant des softs, des journaux (Tilt, Gen4, Hebdogiciel, MSX News, Amstrad Magazine) ou éditeurs aussi ; mais il y avait aussi des programmeurs, des graphistes et des musiciens qui cherchaient toujours à s'améliorer en allant au bout de leur possibilités avec beaucoup de contraintes physiques liées aux capacités contenues des machines (peu de couleur, faible affichage au niveau des sprites...), mais aussi en repoussant les possibilités physiques* de celles-ci. Il fallait donc innover avec peu de moyen, et surtout connaître sur le bout des doigts sa machine, coder en assembleur pour utiliser les coprocesseurs afin de soulager le processeur, etc. 
La scène des démomakers avait presque toujours un cran d'avance sur les boites de jeux, certaines démos étaient tout simplement bluffantes, je passais des heures à les écouter et à les regarder tourner...

* Afficher à l'écran plus de couleurs que l'ordinateur ne peut en afficher réellement (Je pense à l'excellent soft de dessin Spectrum 512 sur Atari ST qui affichait la palette entière de l'Atari alors que celui-ci était coincé sur un affichage de 16 couleurs sur 512), faire croire à l'oreille en mettant du delay sur certains sons et notes, qu'il y a beaucoup plus de voies qu'en vrai (plein de musiques sur le bon vieux C64...)

Tiens je vais écrire un roman, La guerre des machines, ou alors La guerre des boutons d'ordinateur... Vous connaissez pas un éditeur ?
 

Bon, allez, avant le roman, il faut au moins que je finisse ce post.

Alors, j'en étais où déjà ? Ah oui... Après donc avoir déballé mon ordi fraîchement arrivé d'Allemagne, puis branché les câbles et allumé ma télé cathodique : Poutch, Pshhh. C'est le bruit qu'il a fait quand j'ai enfin appuyé sur le bouton 'on' sur le côté gauche de la machine.

Mon ordinateur neuf a pété, et de la fumée s'est échappée de l'arrière...
Malheur, que s'est-il passé ?
Je retourne l'ordinateur, paniqué, vérifie le dos, l'étiquette près de l'alimentation indique 110 volts ! Oh non, je viens de lui administrer du 220v, je viens de l'électrocuter.

Soupir... J'ai appelé le magasin en suivant, et l'ai renvoyé quelques jours après par la poste après avoir essayé plusieurs fois de le rallumer, en vain ; quelques semaines plus tard, j'en ai reçu un neuf adapté à la norme française, en 220 volts... il a marché du premier coup, ouf.

Pour le premier allumage je me rappelle avoir inséré la disquette de démarrage (le fameux Kickstart), puis j'ai dû mettre ensuite la disquette du Workbench (l'équivalent de Windows, ou de OSX, l'interface graphique du système d'exploitation, avec le bureau, la poubelle, le pointeur, tout ça...), je me suis amusé pas mal de temps avec avant de mettre un premier programme à l'intérieur du drive (le lecteur de disquette). 

Je rappelle à ceux qui n'ont pas ou peu connu cette époque, qu'il n'y avait pas de disque dur vendu avec les ordinateurs en standard, ça existait mais ça valait très cher ; les disques durs étaient externes, un vrai luxe. Aussi, pour des utilisateurs lambda, tout était stocké sur disquette, programmes, données...
Encore avant on stockait tout sur cassettes (beaucoup plus lentes encore que les disquettes), les disquettes n'étaient pas aussi véloces que des disques durs, mais c'était déjà pas mal...
Encore avant, il y avait la pierre de Rosette, rappelez-vous, elle était très lourde (726 Kilos), et il y avait peu d'information dessus, qui plus est le lecteur de pierre de Rosette était très encombrant.

Avec Deluxe Paint, on pouvait dessiner, et bien sûr créer tout l'environnement graphique pour créer des jeux (sprites, tiles) ; on pouvait aussi tester les anims via ce qu'on appelait des 'cycles de couleurs' puis  plus tard, dans la seconde version du soft Deluxe Paint Animation, on a pu tester les animations grâce à un système de calques comme dans Photoshop qui à l'époque ramait grave (c'était la version 0.87).
D'ailleurs, bien que j'étais époustouflé par la résolution des Mac, je ne pouvais m'empêcher de sourire quand je voyais un ordi qui valait si cher*
et qui se trainait autant pour remplir un cercle avec une couleur...  
* Mac II couleur, 77.000 fr (12.000 €) contre 3000 fr (450 €) pour un Atari ST et 4500 fr (700 €) pour un Amiga 500 ou 3500 fr (500 €) pour un Amiga 1000 ; le smic était en 1987 à 4650 fr.

De 1987 à 1989, j'ai fait pas mal de graphismes, pour des essais de jeux avec Thierry A., un ami, qui s'essayait à la programmation notamment sur Amos basic, un portage du STOS Basic sur Atari ST.
Malheureusement, ces essais ne sont restés que des versions béta, béta bugguées, voire béta bloquées, et ils n'ont jamais vraiment été finis, dommage.

Je me rappelle surtout de deux jeux où j'ai passé pas mal de temps à dessiner des sprites et des décors... 
D'abord, un jeu éducatif pour apprendre l'Anglais, où il fallait à la manière du jeu de Pompiers de Game and Watch, ramasser des lettres pour composer des mots, avec une belle image scannée de Big Ben en fond (on avait un copain qui avait une boutique qui nous servait de QG, il avait un scanner branché sur un Amiga 2000), et un autre jeu, fait plus tard cette fois, sur le groupe Metallica, qui reprenait la saga des 4 albums alors édités : chaque niveau représentait un disque du groupe. 
Le premier niveau, était inspiré de la pochette de Kill'em all, il était dans les tons rouges et noirs, et le héro, James Hetfield devait avancer tout en évitant des trous, monter des échelles, en évitant des marteaux... Le second niveau, inspiré de la pochette de Ride the Lightening était lui dans les bleus avec des éclairs dans le ciel, et cette fois-ci, JH devait éviter des chaises électriques volantes. Le troisième niveau, c'était Master of Puppets, avec un paysage avec plein de croix de GI comme sur la pochette, je me rappelle plus des adversaires... Le troisième niveau, c'était And Justice for All, bien sûr, qui venait de sortir, avec un système où JH devait sauter de balances en balances (comme sur la statue de la justice sur la pochette), je ne me rappelle pas que ce niveau ai vu le jour.
Tout ça est certainement perdu, à moins que je ne retrouve un jour la disquette au fond d'un carton dans un vide grenier...

Allez, c'est pas tout, je dois mettre la table.

dimanche 18 mai 2014

Alcarus et Aktor

Ce strip a été retrouvé au fin fond de mon disque dur lors des fouilles de ce dimanche 18 mai 2014. Elle est aussi vieille que Jean-Pierre Mathusalem lui-même (datation carbone 14). Si un jour vous regardez à nouveau Goldorak, vous remarquerez qu'Actarus n'a jamais de sangle à sa guitare, elle tient toute seule, c'est assez mystérieux.


Ici, on ne saura jamais pourquoi le professeur Portion a été si violent ce jour là.

mardi 13 mai 2014

Wolvurine

Voici un photomontage réalisé en 2012, sur un jeu de mot de CIP pour son site calembouresque : Le Club des 2
Je vous conseille d'aller voir les gags illustrés de l'ultima encyclopaedia scientarum animalum : le zétrobu, l'orfélin, le crabe-maga ou encore le crottale.

lundi 21 avril 2014

En avril, heu...

Un bon article, enfin, je trouve, sur l'Histoire française de l'animation sur wikipédia, là, ici. (Hé ! Ca c'est incroyable alors, z'avez vu, j'y suis ; je suis dans l'histoire de l'anim, dans la section court-métrage 2000 et 2010)
 

Bon, quoi poster en avril ? Un dessin ? Une anim ?

Rha, je vais quand même pas vous dévoiler le nouveau projet secret sur lequel je planche depuis 9 mois avec mes deux copains Alex et Michel...
Ah non, rien, vous aurez la surprise plus tard.


Bon, voici en attendant un vieux croquis que j'aime bien que j'avais fait chez Sylvain et Agnès, à le ferme d'en Samotte à Montgey...



mercredi 19 mars 2014

Bruce Lee died in Galway_5

Voici la pochette finale de l'album qui sortira donc en juillet ou août 2005, validée enfin par Sylvain, qui a toujours regretté celle que moi je n'aimais pas... C'est aussi ça les groupes de musique, des compromis. Celle-ci est plutôt chouette je trouve, elle est assez intimiste, rappelle les bons moments passés des années 80, et puis y'a Georges, mon chat, et ma guitare (ça c'était une idée de Thierry A.). Cette photo est un montage de 2 photos qui sont exactement les mêmes au niveau composition, mais qui sont différentes d'un point de vue éclairage. Il y en avait une avec une lumière à gauche orange et la télé éteinte, et l'autre avec juste lumière bleutée provenant de la télé... Je voulais les deux, car ça faisait un résultat assez surprenant, mais c'était impossible d'y arriver avec les deux sources allumées à la fois, car l'orange mangeait le bleu et vice versa, j'ai donc fait de la retouche pendant plusieurs jours pour arriver au résultat que vous voyez là haut...

vendredi 14 mars 2014

Digduguesclin - Histoire et Storyboard, Projections - fr/en



En l'an de grâce 1351, le Royaume tout entier est dévasté.
Mandé par le Roi afin de renverser le sinistre Malsanto, 
Bertrand entame alors un long voyage...




Les origines du film


Le début de l'aventure commence en 2005 par un simple morceau de musique, intitulé "Digduguesclin", un titre trouvé chez moi, un mot-valise donc. Mélange de "Digdug" le fameux jeu vidéo des années 80 auquel je jouais dans les bars au début des années 80, puis sur ma CBS Colecovision sur la belle télé Philips de mes grands-parents, et de Duguesclin, le célèbre chevalier Français du 14ème siècle, dont on nous a appris l'histoire au collège. Le titre m'a tout de suite évoqué deux choses que j'adorais : les jeux vidéos et l'époque médiévale.
Ce morceau devait être le 13ème du 2ème album de Golgoth 13, mon ancien groupe de musique. Cofondateur, guitariste, compositeur, j'ai aussi été un peu l'homme à tout faire du groupe pendant 7 ans : réalisation des pochettes de disques, affiches de concert, site web, repassage des tenues de scènes, etc. "La Queste de Digduguesclin" a été enregistré en janvier 2005 au studio Chaussette Records dans le petit village d'Urcuit, par mon ami et Disque Jockey du groupe, Sylvain Aubert. Le morceau nous paraissait bien, mais un peu trop différent du reste de l'album, car il avait été composé plus tard avec un vieil ami, l'ingénieux Stéphane Paulini, le nouveau clavier du groupe qui avait remplacé Grégory Sentenac. Une idée folle me vint alors : utiliser le morceau "Digduguesclin" comme fil conducteur de notre prochain album, et de faire donc de notre 3ème opus, un album électro-médieval autour du moyen âge donc. Fous de joie, les autres membres acceptent ma proposition, mais ils ne savent pas encore que cette idée va nous mener à notre perte. Après plusieurs années de travail acharné, certains morceaux sont achevés, d'autres non, deux cent riffs sont enregistrés, concepts, storyboards et certains bouts d'anims sont même finis. Il manque une certaine cohérence, car il n'y a pas encore vraiment d'histoire, mais uniquement des thèmes à la manière de morceaux classiques. Stéphane Paulini très conscient du succès qui va nous tomber dessus, préfère quitter le groupe avant de devenir célèbre. Nous nous retrouvons donc à trois, mais nous composons à deux avec Hervé Zwingelstein à la basse, et moi à la guitare dans son grenier. La période est plutôt faste et nous composons un de nos meilleurs morceaux : "L'arrivée du Roi". Sylvain se sent seul ; il veut jouer en live et nous propose de recruter un nouveau clavier. Il est fan d'un groupe local qui tourne bien, "le Garazi Philantropik Orchestra". Il rêve de jouer un jour avec un de ses membres qui le fascine au plus haut point, tant par sa présence scénique que par sa beauté : le batteur percussionniste xylophoniste Stéphane Garin.
Nous rencontrons donc Stéphane un samedi matin au Kalaka, un café situés sous les jolis magnolias en face de la cathédrale de Bayonne. Stéphane est emballé par l'idée de nous rejoindre, et après quelques répètes d'abord à deux, nous composons des nouveaux morceaux à trois avec Hervé, puis à quatre avec Sylvain. Cela fait déjà 6 mois que nous jouons ensemble, et même s'il y a de belles compositions, nous avons du mal a rendre l'ensemble cohérent ; décidément, c'est pas facile d'écrire des morceaux de 20 minutes. En 2007, nous tournons alors beaucoup avec les anciens morceaux de nos deux albums précédents, histoire de nous ressourcer mais aussi de ne pas perdre pied avec la scène. Il faut dire que les fans sont demandeurs, et il ne faut pas les décevoir ! C'est à cette période que nous jouons le mieux, mais en même temps nous finissons aussi par perdre de vue notre projet initial. Il devient très difficile de se remettre à Digduguesclin : nous patinons. Fatigué, Stéphane Garin après avoir quitté le Garazi, décide de quitter aussi le navire Golgoth pour se consacrer à des projets solo, et Hervé Zwingelstein le suivra deux mois après. Le projet titanesque sombre en 2008 avec le split inévitable du groupe, et nous sombrons aussi avec Sylvain dans une dépression abyssale, épuisés par cette aventure rock and bolesque. Malgré quelques essais à deux pour "sauver" le groupe, c'est infructueux, rien n'y fait, le Golgoth est en panne.
Après deux ans de jachère, de larmes, de cris et de poussière, je décide de reprendre le film à zéro, car je refuse de jeter tout ce travail. Tout en gardant le concept du début (faire un film en pixel autour du moyen âge), j'écris en 2010 un vrai scénario. Comme le projet est déjà vieux, je n'arrive pas à garder un bon rythme de travail seul ; j'ai besoin d'aide ! Je propose donc à Michel Pasut un vieux copain (auteur talentueux de pièces de théâtres), de m'aider à écrire les dialogues. Il accepte, ce qui me motive à écrire tous les soirs en rentrant du travail. Nous nous voyons ainsi avec Michel tous les vendredis matins au café "Le Palais" pour écrire les dialogues et ce pendant 6 mois. Je lui décris l'histoire au fur et à mesure des semaines, et les dialogues se précisent. Tous mes dictionnaires d'étymologie et médiévaux me servent à nouveau, je jubile ! Pendant ce temps, je cherche aussi à élaborer toute la partie technique du film, et je continue à créer la bibliothèque graphique : les décors, les objets, les personnages... Fin 2010, le scénario et les storyboards sont finis, tout me paraît à peu près cohérent. Je fais alors une demande d'année sabbatique à mon travail officiel, elle m'est accordée. Ouf. En janvier 2011, je me lance enfin dans l'aventure sur mes propres économies. Nous sommes en avril et cela fait déjà 3 mois que je travaille sur le film, je n'ai fait qu'un quart. Mon bureau est à la maison, dans le salon, et je prends du retard. Je soudoie alors un ami photographe, Ludovic Zeller, afin qu'il me prête un bureau dans son Studio Photo, le "Z studio" ; il accepte... Je suis sauvé ! Je me met au boulot dès le lendemain matin, et je reste jusqu'à tard le soir ; je n'ai pas une minute à perdre ! Pendant 5 mois, je vais travailler d'arrache-pied, et en août, je suis aux trois-quart du film ; mon retard est enfin rattrapé. Sachant que je suis enfin dans les temps (ma date butoir est fixée à fin décembre 2011), je propose alors à Sylvain de faire la musique du film. Il reste un peu plus de quatre mois pour réaliser toute la musique ainsi que la partie bruitage. Sylvain a peur de ne pas y arriver, mais je le menace de l'étrangler s'il ne fait rien : il accepte. Il bosse tous les jours comme un damné, et on se voit le samedi après-midi pour le goûter. Il est lui même emballé par ce qu'il fait, il rit beaucoup à cette période et la laideur de son visage disparaît le temps de la composition, il rayonne. Ca ne lui est pas arrivé depuis Golgoth, et il produit comme jamais ! Sylvain colle de près au film et ses compositions marchent encore mieux que ce que j'espérais. Le film prend une bonne tournure, nous sommes content. Nous gardons un seul morceau que j'ai composé, "Les chevaliers de la Table basse", la thématique des chevaliers éponymes. Fin novembre, après 11 mois intense, la partie animation est terminée et le film enfin monté. Le 10 janvier 2012, soit deux jours avant l'avant-première à Bayonne, le film est enfin prêt. Il passera à la galerie du Second jeudi 10 fois pendant 3 jours, salle comble. Je suis soulagé.

Un an plus tard, un site internet sera réalisé par mon ami Jonathan pour la promo du film, il est désormais sur "the way back machine" sur archive.org 



 FICHE TECHNIQUE
 
Scénario et réalisation : Sébastien Lasserre
Dialogues : Michel Pasut et Sébastien Lasserre
Musique et bande son : Sylvain Aubert
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Traduction Anglaise : Xan Errotabehere
Traduction Espagnole : Kimu et Martha
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Lieu de production :  Système Solaire, Terre, France, Bayonne
Année de production : janvier 2010 à décembre 2011
Sortie : janvier 2012
Durée : 34 mn.et 48 s.
Version : Française, Anglaise (peut-être un jour Espagnole et Basque)

Support : DVD ou fichier numérique HD

Seb, Sylvain et Michel

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In the year of grace 1351, the entire kingdom is devastated.
Begged for by the king in order to reverse the cursed Malsanto,
Bertrand sets off on a long journey…


Origins of the film

The story begins in 2005.
« Digduguesclin » was an instrumental track that should have been on the third album of Golgoth 13,my previous band. This tune was an electro-mediaeval mix between the old video game « Digdug »and the french knight from the 14th century « Duguesclin« .




« The Quest of Digduguesclin » was recorded in january of 2005, at our recording studio « Chaussettes Records »in Urcuit by my old friend and DJ of the band Sylvain Aubert, aka Vincil from Ummo.The tune sounded good, but a little different from the rest of the album because it was made later,after Stephane Paulini joined us to replace our previous keyboard player Gregory Sentenac.A crazy idea came to me : Keeping the tune Digduguesclin for our third album, in order to make a Concept album.The others members were very happy about it, what they didn’t know was that this idea would drive us to hell.After many years of hard work, some tunes were finished, some others weren’t, two hundred guitar riffs were recorded, designs, storyboards, and some animations were made. It was a big project and it was difficult to keep the whole thing consistent. Stephane Paulini was well aware that success would soon knock at our door, but he didn’t want to be famous. He left the band on the spot.Golgoth 13 had lost a leg and we decided to compose new tracks with the bass player Hervé Zwingelstein. That period was a good one, inspiration was present, we created one of our best tunes ever: « The arrival of the King ». Sylvain felt alone because he didn’t compose with us (he didn’t play any « common » instrument), and he wanted to play live again. At that thime he was a big fan of a local band named « Le Garazi Philantropik Orchestra« , from which he liked the xylophonist drummer Stephane Garin. Sylvain wanted him in the band. We met Stephane on a sunny day in a café located in front of the cathedral of Bayonne, under some marvelous magnolias. Stephane was zestful to join the band and we created our first new tunes together a few days later. We composed during 3 months and even if there were some really good tunes, we didn’t succeed in making a coherent album. In 2007, we decided to tour again to take some fresh air. We toured a lot and by this way we progressed, but we forgot about Digduguesclin. When we came back at the recording studio, it was hard to compose again and we felt very tired. Stephane Garin decided to leave the band to work on his own tunes by himself. Hervé Zwingelstein couldn’t accept this situation and he left as well. The titanic project sank with the inevitable split of the band and I sank together with Sylvain into an abyssal depression. I tried to save the band with Sylvain, but nothing happened, Golgoth was frozen. After two years of tears and dust, I decided to bring the project back on my own: by making a film using the early intent and concept. In 2010, I wrote a real scenario. The project was getting old and I didn’t have a good workflow; I asked Michel Pasut, an old friend, to help me write the dialogues of the film. He agreed and I worked every evening after my day job; we saw each others on friday mornings of every week during six months. I described the story to him and little by little, the dialogues seemed to get clearer. I used all of my medieval dictionaries. In the meantime I continued to work on the technical aspects of the film and on the graphic library : characters, sprites, settings, tiles… By the end of 2010, the scenario, the storyboard and the dialogues were in place. Everything seemed to be coherent. I took a sabbatic year off my day job in january of 2011 in order to make the film, on my own dime. By April, I had already worked for 3 months on the production of the film and realised I was behind schedule. I worked at home in my living-room and found it was not a good place to have a proper workflow. I asked a friend, a photograph in Bayonne, if I could use a little space in his professional studio: the « Studio Z ». He accepted and consequently saved me. During 5 months I worked early in the mornings up until late at night; By August, three quarters of the film were done. I knew that I was back on schedule so I asked Sylvain to make the music. Sylvain was afraid about the tight schedule and thought he wouldn’t be able to do it in time… I then threatened to strangle all of his family along with him and miraculously, he accepted the challenge.
He worked hard and we saw each other on saturday afternoons. He was a happy man at that time and laughed a lot. All of his compositions were coherent and everything seemed perfect! We kept only one of the tunes I composed: « Knights of the Coffee Table ».
By late november, all the animation was done and the film was edited.
On January 10th, 2012, the film was ready for its first projection at "La Galerie du Second Jeudi".

One year after, a site internet is developped for the film's promotion; it is now on internet archive "wayback machine" : archive.org 



TECHNICAL SPECIFICATIONS

Scenario, Director : Sébastien Lasserre
Dialogues : Michel Pasut and Sébastien Lasserre
Music : Sylvain Aubert




English version : Xan Errotabehere
Spanish version : Kimu and Marta
Place of Production : Solar System, Earth, France, Bayonne
Year of Production : January 2010 to December 2011
Release : January 2012
Lenght : 34 mn. 48s.
Versions : French, English (may be one day in Spanish and Basque)
Support : DVD or Mov. HD



Affiches/Posters

Affiche Françoise
Englis poster

Concept

Digdug + Duguesclin = Digduguesclin

Dessins préparatoires/First drawings


Premiers dessins de l'ours.
 Ici, il donne du miel à Bertrand
qui a attrapé un rhume carabiné.
L'ours a été brûlé par un cracheur de feu maladroit, 
il n'a plus de poil aux fesses.
(rebaptisé Glinglin pour le film, en hommage au martyr Saint Glinglin),
sont trois légendes bien connues du Moyen-Age.


L'écu de Bertrand Digduguesclin : la pelle est le symbole du jardinage moderne, mais aussi du célèbre jeu video des années 80, Digdug.
"Creuse et tu trouveras. Enfin, ça dépend." (Roger Labinette, XIVe)
Bertrand Digduguesclin, le chevalier à la pelle (Polaroïd, XIVe)
1-Haubert 2-Cottes d'armes 3-Heaume 4-Ecu 5-Mitaine 6-Ceinturon
7-Epée 8-Gambison 9-Chausse 10-Eperons 11-Pelle
Le Commodore 64, symbole de modernité et de blasphème au Moyen-Age va être détruit sur ordre du Pape Grégoire XXII qui ne supporte pas cette machine.
Enlevé puis caché dans le mur d'une église par un maçon amnésique, 
le Commodore ne sera finalement jamais retrouvé.

Eglise Cathodique de Pontiflard, inspirée de la chapelle de Saint Gonery à Plougrescant en Bretagne.

Le Chastel de Montfol en feu.
La carte du Royaume, faite à la main parJean-Luc Ptolémée lui-même.

Etude d'un Chastel médiéval.
Une série d'ectoplasmes et autres fantosmes du Styx.

La Vouivre, Wouivre ou encore Wyvern, premiers croquis.
Le Goupil devait aider Bertrand dans sa Queste, 
l'idée a été abandonnée sur ordre du Diocèse de Glaviotte.
Un des premiers dessins des Moines Photocopistes.
(Illustration du XIIe s.)

Voici une étude du mécanisme de l'usine Malédictine :
c'est là que sont fabriqués les navets transgégènes
(mi-transgénique, mi-gégène) de Malsanto.


Premières recherches de Malsanto.

Etude de la Barque de Bertrand, inspirée des nefs du XIIIe.
Toru, un des fils du Roi pécheur, pétrifié sur l'île Paku.







La Mer d'Houille, première ébauche.
Un fond marin, avec quelques restes d'une civilisation disparue, mais vu la taille des colonnes, les scientifiques penchent plutôt pour du polystyrène...
L'écu des Froissés.



Storyboard

Eglise de Pontiflard/Tristan le Froissé porte une missive au Roi.




Bertrand arrive à Hersepic


Terre Gaste/Le Roi pêcheur accroche Glinglin à l'Arbre de vie

Pontiflard/le Roi demande à Bertrand de s'asseoir sur le Siège Périlleux




Premières recherches graphiques

Hersepic
La Mer d'Houille.
Moines Malédictins
Le Roi d'Ug
Les ectoplasmes


Extraits de presse / Press



"La Queste de Digduguesclin", c'est une chanson de geste en 16
couleurs 8 bits, à la façon de premiers jeux vidéo.
De cette hybridation génétique naît un monde graphique terrifique et
ludique, un monde virtuel naïf et toxique, que le pauvre chevalier
traverse bon an mal an.
Avec lui le spectateur qui ouvre grand ses mirettes,
saisit au vol les gags et fausse-trappes d'un rêve éveillé.
Bande passante passée au stroboscope, ritournelle cadencée de sons
électroniques, répliques en ancien français pixélisé, le film de
Sébastien Lasserre prend les allures d'un voyage psychédélique dont
on sort en méditant.
Fidèle au genre initiatique, l'auteur appelle au dépassement de nos
peurs et nos fantasmes, que les puissants manipulent à leur gré.
Chimères, disparaissez!

Dame Aude l'Ymagière, Science et Moyen Age, mars 2012.

Extraits p.8 - Courrier des lecteurs

Pff g vu le film se matin ct tro chanmé

MDR du dbu jusklafin. 
 Gisèle, 79 ans

Tromortel jador kan le cheval i galop
c tro bien fé ! 
Louis, 99 ans

Magnifique, j'ai aimé mais parfois j'ai eu peur des méchants.
 
John, 6 ans et demi

 Sa ma doné la nosé
Hubert, 46 ans, militaire à la retraite 

C kankonpeu le voir en gran ?
Simone, 100 ans



Ce qu'en dit la presse sur internet :

Retrogaming


Animation


Journaux



Projections  / Screenings

2015

- 8bitBar_Panke culture, Berlin, 7 mai

 
 2013 

- Festival la lanterne magique,
médiathèque de Saint Paul, la Réunion,  17 au 29 octobre

- Faites-vous des films, Billom 17 et 18 août 
- Irun Faktory, Irun (Pays Basque) 5 au 9 juillet

2012 

- FIFAVA, Galerie Pompidou, samedi 3 novembre – 16h00 
+ diffusion tous les mercredis du mois de novembre en français
et en anglais + exposition des storyboards
+ conférence/question-réponse
- Festival Voix d'étoiles, Port-Leucate, 31 octobre au 3 novembre 2012
- L'Usine à Jeux, Bayonne, 15 septembre 2012 (date susceptible d'être modifiée)
- Pub Katie Daly's, Bayonne, vendredi 13 juillet à 19h30 (gratuit)
- Soirée Coqtail, Toulouse, samedi 16 juin - 20h30
- AIAA, Roquefort, samedi 5 mai - 20h00
- Médiathèque, Biarritz, vendredi 16 mars - 19h30
- Galerie du Second Jeudi, jeudi 12, vendredi 13, samedi 14 janvier - 16h/17h/18h